La paix dans le monde, rien de moins. C’est à cela que rêvait Ludwik Louis Zamenhof en construisant, en 1878, sa langue apatride, basée sur la structure d’idiomes existants. Partout dans le monde, des locuteurs ont repris le flambeau pour dépolitiser la langue, en retirer tout rapport de force et communiquer d’égal à égal. Normand Fleury, de la Société québécoise d’espéranto, raconte à Jacques Beauchamp que les deux guerres mondiales ont porté un dur coup au projet espérantiste.
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