Dans cet épisode, Eugénie et moi allons explorer comment l'art peut nous aider à guérir et à grandir.

Au début de nos vies de jeunes femmes, Eugénie et moi avons toutes les deux rencontrer une étrange amie : l'anorexie mentale.

Loin d'être un "refus de grandir" ou encore une "crise d'adolescence", l'anorexie mentale témoigne bien plus d'un désir d'exister que d'une seule peur de grossir.

Cette psychopathologie s'affirme paradoxalement par l’effacement, l'effacement du corps, de l'appétit, de la chair, des formes, du poids,...mais aussi de la sécurité, de la confiance, de la créativité (et pour les femmes de leur féminité). Elle est aussi une indicible difficulté à exister, à s’affirmer parmi les autres.

La créativité a toujours fait partie de la vie d'Eugénie aussi loin qu'elle s'en souvienne. Pour prendre son envol et briser les chaînes dorées de la maladie, s'épanouir et être au monde en tant que jeune femme, Eugénie cultive cette capacité que tout le monde peut chérir.

« L’art ne fait pas disparaître le mal être, il le pose sur notre épaule le temps de faire un pas de côté par rapport à lui »

« Ce qui compte c'est la pratique. Prendre du plaisir à ce qu'on fait, avant le résultat »

Merci à elle pour ce témoignage 😊

J'espère que l'épisode vous plaira !

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Bonne écoute ! 🦦🌈

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