Geos, Kay Rubenz et Wetu décident de balayer devant leur porte. Ils pointent du doigt leurs propres comportements sexistes, leurs masculinités toxiques. Par le passé, Geos a produit plusieurs paroles homophobes et des clips sexistes (extraits à l’appui). Wetu avait pour habitude de mal parler des filles et de l’acte sexuel, qu’il n’envisageait qu’à sens unique. Et Kay se prenait pour Snoop Dogg, jouait au « player » et faisait du slutshaming en colportant de fausses rumeurs. 

Cette autocritique collective vise à prouver que même des « imbéciles » peuvent changer d’avis. Et qu’en tant qu’amateurs de Rap et/ou acteurs dans ce milieu, il n’est pas nécessaire de faire preuve de discrimination genrée pour valider sa masculinité… En complément, les protagonistes reviennent aussi sur les réactions qu’ils ont reçues après l’épisode pilote - notamment sur la question du #mansplaining​ - et sur la fausse affaire #SurvivingCardiB​.