Idée reçue n°5 : tu n’avais qu’à partir ! "J’ai fui avec mon bébé dans la nuit du 5 au 6 juin 2020 pour échapper à la violence de son père. Chez mes parents, en train de chercher des réponses à toutes mes questions, je me suis interrogée sur ce
Quand Sarah Barukh raconte son histoire avec le sourire, elle sent qu’en face d'elle, on doute. Comme si, lorsqu’on a été victime, il fallait continuer d’en porter le costume pour être légitime. Pourtant, pour elle, il ne peut plus être ce bour
Idée reçue n°3 : l’entreprise n’a aucun rôle à jouer dans les violences conjugales. Durant son enquête lors de l'écriture de 125 et des milliers, auprès de 125 familles et proches victimes de féminicides, Sarah Barukh s'est parfois retrouvée fa
Idée reçue n°2 : après un féminicide, les enfants recueillis vont s’en sortir.Durant l'enquête pour écrire 125 et des milliers, Sarah Barukh a rencontré de nombreux enfants de victimes dont Fanny, Milena et Lukas, Antoine, Chloé, Anne-Sophie, E
Idée reçue n°1 : la violence, c’est que des coups? Pour sortir de l’enfer des violences dans le couple, d’abord faut-il reconnaître qu’on en a été victime. C’est le premier pas vers la vie d’après.Pourtant, pendant longtemps, on disait aux femm