Et oui, après avoir un peu arrêté parce qu’on avait un peu la flemme de mettre le micro tôt matin, nous avons décidé de reprendre nos partages de tartino-discussions matinales avec nos Warmshowers. Cette fois-ci, nous hébergeons Nicolas qui remonte la GTMC du Sud vers le Nord après avoir fait la Poco Loco, un ultra entre Brive-la-Gaillarde et Toulouse. Au menu ce matin :

• Des craquements de pains et des glouglous.
• Son premier voyage pour remonter la Seine jusqu’à sa source… Un énorme coup de cœur pour ce mode de voyage et l’enchainement de voyage à vélo qui s’en ait suivi jusqu’à son passage par chez nous en remontant la GTMC.
• Le goût du dépassement de soi, les ultras, et le lâcher prise pour se laisser aller.
• La « qualité » des pistes cyclables parisiennes, l’aspiration des poids-lourds.
• La beauté du Massif Central, ses endroits préférés jusque maintenant (Salagou, Cirque de Navacelles, les Cévennes).
• Ce qu’il attend pour les prochains jours de pédalage (Mont Lozère, Margeride, Cézallier).
• Une tentative d’explication sans doute erronée de la formation des chaos granitiques.
• Comment faire la GTMC en mode itinérance ?
• La phrase du jour : « On n’a jamais les mains propres très longtemps quand on voyage à vélo ».
• Le mélange entre sport et l’histoire des endroits que l’on traverse.
• Le dossier : Voyager à vélo, c’est aussi accepter de dire au revoir aux gens que tu rencontres. Trouver l’équilibre quand on voyage à plusieurs, se quitter et se retrouver.
• Pourquoi passer des voies vertes et canaux aux petites pistes et routes du Massif Central ? (Petit indice, en haut tout est plus beau).
• Pour Nicolas, le voyage à vélo c’est retourner aux basiques de la vie et de profiter de choses simples…