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Ce Qu'On Ne Vous Dit Pas sur Tulum

Ce Qu'On Ne Vous Dit Pas sur Tulum

Released Thursday, 2nd May 2024
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Thursday, 2nd May 2024
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Episode Transcript

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0:00

Est-ce que vous avez déjà rêvé d'aller vivre ou d'aller travailler, d'aller faire peut-être une petite vie nomade pendant quelques mois dans un autre pays?

0:09

Hello, tout le monde, j'espère que vous allez bien.

0:12

Bienvenue sur un nouvel épisode du podcast de Valérie Busque.

0:15

Alors, aujourd'hui, on fait un épisode un peu différent.

0:22

J'ai vécue dans les dernières semaines, dans les derniers mois où je suis partie, presque trois mois, vivre carrément pendant presque trois mois à Touloum, au Mexique, et pendant mon voyage, plein de gens m'ont envoyé des questions.

0:38

Je me sentais un peu comme si j'étais devenue une agente de voyage, parce que les gens m'écrivaient, ils voulaient avoir les bonnes adresses, où est-ce que je devrais aller je me fais un voyage solo à quel endroit tu me conseilles, etc.

0:49

Est-ce que je devrais être downtown, est-ce que je devrais aller plus près de la plage et tout.

0:53

Alors, je me suis dit je vais répondre à toutes ces questions-là aujourd'hui et je vais probablement vous partager ce qu'on ne vous a jamais partagé par rapport à Touloume, par rapport à cet endroit-là bien spécifique, bien particulier en fait du Mexique.

1:09

J'ai beaucoup d'informations à vous partager.

1:12

Je vais y aller un peu, je vais peut-être sauter du coq à l'âne, je vais aller dans plusieurs directions et on verra à la fin de l'épisode, si ça fait du sens, mais j'espère au moins que ça vous inspirera.

1:24

Comme je vous disais, moi j'avais un désir.

1:27

Ça fait très, très longtemps, ça fait plusieurs années que je vais au Mexique À chaque année.

1:30

Si vous me suivez, j'ai déjà fait plein d'épisodes sur chaque fois que je revenais en fait d'un voyage.

1:36

Mais le Mexique particulièrement, je l'ai fait, c'était au Mexique dans un resort.

1:41

Ça fait très, très, très longtemps de ça.

1:56

Je pense que ça date d'il y a 15 ans. Ça, c'était dans un resort. Mais si on recule avant ça, moi j'ai vécu l'expérience de partir un an à l'étranger.

2:01

Pendant que j'étais ici, à l'Université Laval, je faisais mon bac en arts visuels et à ma deuxième année d'université, je me suis inscrite, en fait, dans un échange interuniversitaire.

2:12

Alors, je me suis inscrite, j'ai fait une demande pour partir un an à l'étranger, étudier là-bas.

2:17

Alors, ça, vraiment, ça a été une grande expérience de vie.

2:27

Mais par la suite, je suis partie seule au Mexique Et cette première fois-là où je suis partie seule dans un resort, il y a vraiment quelque chose qui s'est passé.

2:31

Et, de fil en aiguille, d'année en année, je retournais au Mexique Et chaque fois, pour moi, c'était une énergie qui était très.

2:38

Cet endroit-là, vraiment, me permettait facilement de me connecter à mon énergie féminine, d'être plus dans le flot.

2:47

La langue, l'espagnol, une langue que j'ai toujours rêvé de maîtriser, que je ne maîtrise toujours pas aujourd'hui, mais je ne perds pas espoir, évidemment.

2:57

Et bref, chaque fois que je suis allée au Mexique, c'était toujours des voyages de 10 jours, 2 semaines maximum, soit pour me reconnecter à moi.

3:11

J'aime souvent dire que je vais au Mexique pour mourir et renaître, faire mourir une partie de moi qui ne me sert plus et revenir plus alignée, plus libérée aussi, parce que c'est vraiment ce qui se passe chaque fois que je vais là-bas.

3:24

Mais je n'avais jamais vécu l'expérience d'être là durant une longue période.

3:31

Donc, j'étais toujours là un peu en mode vacancière, ou j'étais là-bas pour le travail Et je rêvais de pouvoir aller vivre plusieurs mois au soleil, à la chaleur, mais surtout d'aller me connecter à l'énergie, on va dire l'énergie spirituelle de Touloum.

3:50

Je suis allée à plusieurs reprises et j'étais très consciente de cette énergie-là, qui est très intense, qui est très, très intense.

4:00

Et quand on est un vacancier, on ne va pas nécessairement ressentir ça.

4:04

Évidemment, tout dépend de ce que tu fais, avec qui tu es, les conversations, etc.

4:09

Mais pour ma part, j'avais bien compris, en fait, parce que j'ai fait plusieurs endroits aussi à Touloum, mais j'avais bien compris qu'il y a une partie de Touloum qui est très party, qui est très, même party animal qui ne me rejoint pas, mais absolument pas Et il y a l'autre côté de Touloum où je sentais qu'on était dans une vibe vraiment spirituelle, où on était dans une recherche de soi un peu décalée, en fait, du monde matériel, du monde superficiel, on était moins en surface, on était plus dans le deep.

4:41

Donc, ça me parlait Chaque fois que j'allais au Mexique, je me connectais et je sentais, et je revenais à la maison, puis je sentais, puis je me disais wow, il s'est passé quelque chose.

4:52

J'ai vécu avec tel chaman, telle, telle, telle expérience, à chaque fois, plus d'expérience, à chaque fois, une variété d'expériences aussi.

5:02

Donc, tout ça pour dire que, pour moi, c'était du grand wow et j'avais besoin d'aller me reconnecter à ça.

5:06

Alors, à la fin 2023, j'ai pris la décision que j'allais passer la fin de l'année 2023 et les premiers mois de 2024 là-bas.

5:14

J'avais envie de commencer mon année vraiment en me choisissant, si on peut dire.

5:20

Si vous me suivez sur les réseaux sociaux, si vous écoutez le podcast, vous m'avez déjà entendu parler de I Am My Brand, qui est un rêve, un rêve que je caresse depuis tellement longtemps, et je suis tranquillement en train de réaliser ce rêve-là.

5:33

Je suis très, très fière de ça. Je pensais que ce serait beaucoup plus rapide, en fait, à créer comme projet.

5:39

C'est beaucoup plus long que ce que je pensais et c'est parfait, parce que c'est un magnifique processus et j'apprécie vraiment l'expérience d'apprentissage.

5:47

C'est quoi?

5:51

I Am My Brand? En fait, c'est une formation en ligne.

5:54

J'ai vraiment un désir, parce qu'actuellement, je travaille en one-on-one avec différents clients, différents entrepreneurs, mais j'ai aussi ce désir-là de pouvoir accompagner plus de gens, parce qu'il y a tellement de gens, encore aujourd'hui, en 2024, qui ont envie de s'exposer sur les réseaux sociaux, qui ont envie de gagner en visibilité, de bâtir une communauté, d'avoir une audience, de pouvoir prendre leur entreprise, partager le message, de pouvoir se faire connaître sur les social media.

6:21

Mais il y a tellement de peur, il y a tellement de doutes. Il y a tellement de peur, il y a tellement de doute, il y a tellement d'insécurité, il y a tellement de comment je fais, par où je commence.

6:29

Alors, j'ai envie, j'ai tellement envie de pouvoir accompagner ces gens-là.

6:32

Même si ce n'est pas du one-on-one, il y a des possibilités, il y a possibilité de le faire de par une formation que je suis en train de créer.

6:42

Donc, autant, dans cette formation-là, i am my brand, je vous enseigne à bâtir votre personal brand.

6:48

Donc, je vous ramène vraiment à la fondation d'un personal brand.

6:51

Aussi, on va entrer dans les stratégies de contenu, dans les stratégies de communication.

6:56

On va entrer par la suite dans la création de contenu.

6:59

Donc, toutes les questions que vous vous posez, comment ça fonctionne Instagram, comment je fais un reel, comment j'ajoute un audio, comment je fais pour ajouter de la musique trend, comment je fais pour m'inspirer, alors tout ça, mais de façon très simple, très humble.

7:15

C'est ce que je suis en train d'écrire pour vous.

7:17

Alors, je fais une pause, simplement pour vous dire j'ai l'impression que cet épisode de podcast va être long, on ne sait pas, on ne sait pas, mais j'ai pas envie de m'arrêter, en fait, dans le sens où, que ce soit un épisode de 30 minutes ou de 1h30, bien, je vais donner, je vais offrir, en fait, ce que j'ai envie d'offrir.

7:37

J'ai envie de c'est ça, de juste être là, puis de juste être transparente et authentique avec vous.

7:43

Donc, tout ça pour dire que, quand je suis partie à Toulum, j'avais un objectif bien précis et c'était d'aller créer cette formation-là, et c'était aussi de travailler sur des aspects de moi que je traîne, puis pourquoi je n'ai pas encore libéré ça.

7:58

Toute notre vie, on a, en tant qu'humain, des croyances, des patterns, et avec mon expérience et ma sagesse, je reconnais et je peux voir, puis je suis consciente aussi de ces patterns-là, de ces croyances-là.

8:13

Alors, je disais et je demandais, je conversais avec l'univers et je lui disais écoute, je m'en vais là-bas pendant deux mois et demi et je veux qu'il y ait quelque chose qui se passe.

8:24

J'en vais là-bas pendant deux mois et demi Et je veux qu'il y ait quelque chose qui se passe, je veux qu'il y ait une transformation.

8:27

Je suis prête, je veux laisser derrière moi cette responsabilité-là que je peux ressentir.

8:33

À quel point. Puis, ça, guys, je vous le partage, mais c'est entre moi et moi.

8:39

On s'entend, ça n'a rien à voir avec le monde extérieur.

8:42

V, on s'entend, ça n'a rien à voir avec le monde extérieur, c'est vous.

8:44

vos patterns, vos croyances n'ont rien à voir avec les autres.

8:47

Mes patterns, mes croyances, c'est moi avec moi.

8:50

Mais à quel point je peux parfois me sentir responsable des autres.

8:55

Ce désir-là aussi d'apprendre à mettre mes limites, pourquoi encore aujourd'hui?

9:00

c'est un défi. Alors, j'avais envie de travailler ça Et rapidement, sans entrer dans les détails, faites attention à ce que vous demandez dans la vie, parce que je vous promets, je vous promets qu'on vous écoute et qu'on vous le donne.

9:16

Alors, je peux vous dire que j'ai été servie. Je peux vous dire qu'on m'a bien entendue Et parce que j'ai demandé, mais j'ai reçu, et on m'a bien challengé, et c'est parfait d'avoir été challengé, parce que, puis, vous voyez là, ça fait sept semaines que je suis revenue de Touloum et je sens que j'ai encore beaucoup à processer, j'ai encore énormément de choses.

9:38

Je ne suis pas encore totalement, comment dire?

9:41

je ne me sens pas encore totalement, moi.

9:43

Et c'est parfait aussi, parce que les périodes de contraction, les périodes qui sont plus difficiles, sur le coup, on a tendance à vouloir se battre ou à vouloir être à contre-courant, mais à la fin de la journée, quand tu ressors plus forte, tu vas ressortir de là avec une tonne d'apprentissage, plus de résilience.

10:10

Ça t'amène toujours, toujours à être une meilleure version.

10:14

Puis, j'aime pas dire ça, c'est comme si je suis en train de dire que la version avant n'était pas bonne, mais peut-être une version plus consciente, une version plus alignée, plus ouverte.

10:28

Mais on va le dire comme ça, plus dans la conscience, ça me dirige vers qui je dois devenir.

10:35

Donc, oui, ça fait mal, oui, d'être dans l'adversité, c'est tough, mais c'est tellement grand ce qui se passe par la suite Et moi, je me dis la contraction a été là, attention l'expansion, est-ce que tu es prête?

10:54

parce que ça s'en vient, oh, oh. Alors, je vais entrer vraiment dans ce qui se passe dans tout l'homme.

10:59

Dans quel genre de lifestyle? c'est Parce que cet épisode sera interminable, sinon.

11:06

Et mon objectif aujourd'hui, c'est d'être vraiment, vraiment carte sur table avec vous, de vous présenter le vrai Touloum, selon ma vision, selon les lunettes que je porte.

11:21

Je ne veux pas être dans un jugement, je vais tenter vraiment de rester, comment dire, un peu impartial, être en mode observatrice en fait.

11:30

Mais je veux vous montrer qu'il n'y a rien de parfait dans la vie et Toulum, c'est un endroit qui est très particulier.

11:36

Alors, c'est pour ça que je vous dis, je vais peut-être vous dire aujourd'hui ce qu'on ne vous a jamais dit, surtout l'homme, sur une expérience à long terme.

11:44

Quand tu vas dans un resort pendant une semaine, tu te fais servir, on est au service de toi en tant que client, pendant une semaine, tu vis une expérience différente.

11:53

Mais quand tu es connecté au lifestyle, à la vie quotidienne là-bas.

11:58

Quand tu as un réseau, quand tu crées un réseau, tu vis des expériences sur place.

12:04

Il y a quelque chose de différent qui se passe. Puis tu vois une facette différente, tu vois les choses différemment.

12:10

Rapidement, avant de commencer l'épisode, j'ai mis sur papier, j'ai fait deux colonnes, j'ai fait une colonne yes et j'ai fait une colonne no.

12:19

Je vais commencer par la colonne Yes.

12:22

Il y a quelque chose dans l'énergie de tout l'homme, il y a quelque chose qui m'attire, il y a quelque chose, je trouve même, qui rend les gens addicts.

12:29

Pour la majorité des gens, ce sont des nomades, Ce sont des humains qui viennent pour transformer quelque chose, pour transcender quelque chose, pour vraiment faire un 180 degrés dans leur vie.

12:43

Et pour la majorité des gens pour vrai qui sont là, ils vont venir pendant un mois et ils vont rester.

12:48

Ils vont venir pendant quelques semaines, ils vont repartir et ils vont déménager, ils vont emménager à Toulum.

12:56

J'ai tellement, tellement, tellement.

12:59

Je vous dirais que j'ai rencontré au moins 30 personnes qui ont ce profil-là.

13:04

Il y a une vibe qui est très particulière Et je vous dis, il y a vraiment une espèce de vibe quand t'arrives là où il y a un côté très addictif, évidemment, de te lever le matin et de te coucher le soir.

13:16

Tu te lèves le matin et tu te réveilles avec la chaleur.

13:19

Tu te réveilles avec la lumière, une lumière chaude, une lumière jaune, toute la journée.

13:24

Tu termines tes journées avec cette énergie-là.

13:27

On va se ramener. Aujourd'hui, nous sommes en fait on est à la fin avril et moi, j'habite au Québec, au nord de la ville de Québec, donc j'habite dans les montagnes et je suis ici dans une espèce de microclimat.

13:41

Mais vous dire encore, aujourd'hui, à la fin avril, ce matin, je me suis réveillée et tout était blanc.

13:47

Et quand t'es allé vivre presque trois mois au Mexique à 30 degrés, plus, plus, plus, à tous les jours, tous les jours, et que tu reviens et on n'a pas eu beaucoup de journées de soleil depuis mon retour, il y a eu beaucoup de vent, beaucoup de pluie, très froid.

14:07

Et oui, on va dire puis, je suis la première à dire ça se passe dans ton monde intérieur, ça se passe pas, on ne devrait pas être impacté par le monde extérieur.

14:17

Je suis désolée, honnêtement, guys, je sais pas si vous avez déjà vécu ça, mais je réalise à quel point c'est un défi.

14:26

Et même si on me dit puis, je suis la première à dire Ça se passe dans ton monde intérieur.

14:30

Là, j'ai envie de dire Blah, blah, blah». C'est du grand n'importe quoi.

14:33

Ça impacte tellement notre énergie De vivre dans la lumière constante, de vivre dans la chaleur.

14:42

Puis là, c'est sûr qu'on est à Toulou.

14:49

Pas de voiture. Moi, je n'avais pas de voiture, je me promenais en vélo.

14:52

Ça, c'est un yes incroyable, incroyable, parce qu'il fait toujours beau, tu es toujours appelé aussi à sortir.

15:00

Quand je travaillais, pour vrai, puis, j'ai eu une conversation avec un entrepreneur dans les dernières semaines.

15:07

Par rapport à ça, on pense puis, il y a bien des gens, pour la majorité des gens que j'ai rencontrés à Touloum.

15:13

C'est drôle, parce que ces gens-là me disaient Oh my God, je t'admire tellement, t'es tellement focus, etc.

15:20

T'avances, t'es dans l'action». Puis, c'est vrai, on va se dire les vraies choses.

15:24

J'ai rencontré, puis là, je vous l' Calandre, alors suivez-moi.

15:36

Mais j'ai rencontré énormément de gens à Touloum. Ça, c'est peut-être, ça fait peut-être un peu partie des noms, mais des gens qui pensent que, juste, en se connectant à l'énergie, ils vont bâtir des business, puis ils vont cacher, puis ils vont devenir profitables en faisant rien Juste, en vivant, juste en étant.

15:53

Je ne sais pas. D'où est-ce qu'est sort cette espèce de croyance-là?

15:56

On entend ça depuis plusieurs années Faut rien sois, puis tout va venir à toi.

16:02

Je suis désolée, mais moi, je suis entourée d'un réseau d'entrepreneurs à succès qui génère des millions de dollars par année.

16:12

Il n'y en a pas un.

16:15

Je ne connais aucun entrepreneur, aucun entrepreneur pour qui ça a été un chemin fluide, facile.

16:21

Il n'a pas fait grand-chose, il n'a pas levé le petit doigt, il n'a pas été dans l'action.

16:25

Alors, là où je m'en allais, c'était de vous dire que moi, j'ai eu une certaine impression où j'étais moins productive, mais c'était l'inverse.

16:35

Et le truc, en fait, c'est que moi, je suis une high achiever et je suis une hard worker.

16:41

J'ai été élevée aussi dans cette mentalité-là.

16:44

Donc, pour moi, de travailler et de travailler de longues heures, travailler fort et surtout avec une carrière de photographe de mariage où tu travailles des 14 à 16 heures, non-stop, il y a des week-ends où j'ai fait trois mariages, un le vendredi, un le samedi, un le dimanche.

16:59

Ça prend énormément d'énergie, ça, pour moi, c'est un défi, mais ça s'est toujours quand même très, très bien passé.

17:05

Mais je pense que j'avais l'impression, quand j'étais sur place, place, que je ne travaillais pas assez d'heures par jour.

17:11

Par contre, j'étais tellement focus quand je faisais mes mandats que, finalement, peut-être qu'au lieu de passer 5 heures sur un mandat, ah tiens, j'en passais 3.

17:21

Donc, j'étais aussi appelée par la lumière, j'étais aussi appelée par le soleil.

17:26

Donc, évidemment, j'étais encore plus productive dans le travail et je me permettais c'est fou, je me permettais encore plus de sortir, commencer à travailler plus tôt le matin, terminer un peu plus tôt, pouvoir aller marcher, pouvoir aller faire du vélo, etc.

17:42

Donc, ça, pour moi, ça a été vraiment des dans ma colonne de yes, la chaleur, le soleil, de pas avoir mon véhicule, de me promener en vélo carrément à tous les jours, de marcher à tous les jours.

17:57

Puis, c'est comme un besoin, c'est essentiel.

18:01

Non, je ne reste pas ici, je sors.

18:03

Ok, je vais aller marcher. 20 minutes, 30 minutes, oh my God.

18:07

Et là, vous allez peut-être me dire Oui, oui, mais tu peux le faire aussi au Québec, of course.

18:12

Absolument, je suis 100 % d'accord avec vous.

18:16

Mais encore là, je le ramène beaucoup à la température, ça me fait halluciner.

18:20

C'est peut-être particulier cette année, je ne sais pas, mais je trouve vraiment que là, en ce moment, dites-vous que quand j'étais au Mexique, tout le monde me disait Allez, quand est-ce que tu reviens?

18:30

Allez, on s'ennuie de toi, on s'ennuie de toi, tout le monde me voulait.

18:33

De retour au Québec, tout le monde me disait On n'a pas eu d'hiver, il a fait super beau, viens-t'en.

18:38

Dès que je suis arrivée, ça a été le quel point, le fait de vivre au soleil, de vivre à la chaleur, je trouve vraiment qu'il y a quelque chose en fait qui, si je peux dire, qui change au niveau des désirs du corps, du désir de marcher plus, d'être plus en connexion avec la nature et tout.

19:03

Donc, ça, pour moi, c'est un grand, grand oui. Une autre chose aussi Tu as besoin d'avoir un, deux, trois amis max pour te sentir comblée.

19:18

Puis, c'est exactement ce qui m'est arrivé. Dès que je suis arrivée à Touloum, je suis allée dans une boutique, je me suis achetée une robe et j'ai rencontré cette magnifique jeune femme qui a été une partner in crime pendant presque trois mois avec moi.

19:33

On est devenus des besties assez rapidement.

19:37

Ça a été tellement cool de pouvoir vivre ces moments-là avec elle, d'avoir des conversations, de pouvoir la soutenir.

19:42

C'est tellement puissant de rencontrer quelqu'un comme ça.

19:46

T'achètes une robe, tu connectes, elle me regarde, puis elle me dit Hey, est-ce que t'as envie de me laisser ton numéro?

19:52

On pourrait boire un cacao prochainement.

19:55

Si t'as envie, il y a un super endroit tout près, je te montrerai.

19:58

Et la relation commence comme ça.

20:00

On a développé une relation de confiance, une belle amitié.

20:05

On avait quand même, on a quand même un bon écart d'âge.

20:08

Mais à quel point j'ai des souvenirs incroyables avec Antonella, donc, ça, c'est un immense yes.

20:15

C'est un immense yes de dire, c'est comme si j'avais rencontré ma soeur, en fait.

20:20

Puis, on aura toujours une place très particulière dans le cœur de l'autre et on se sera tellement apporté l'une et l'autre.

20:28

Ça, c'est une immense gratitude de cet endroit-là.

20:31

Une jeune femme, en fait, qui vient de Buenos Aires, puis une nomade, qui était là aussi avec son copain, depuis à peu près deux ans.

20:40

Puis, c'est ce qu'elle me disait aussi tu sais, c'est tellement triste parce que on a une belle relation et tout, mais elle me dit toi, tu vas retourner, tu vas rentrer au Québec.

20:48

Puis, c'est toujours ça, tu sais, c'est qu'elle fait de magnifiques rencontres, mais ce sont toujours des rencontres qui sont très éphémères, parce que les gens viennent, repartent, viennent, repartent, viennent, repartent.

21:00

Donc, ça, c'est un peu, je vous dirais de façon très spontanée, les yes.

21:06

J'en ai plein d'autres, j'en ai plein plein d'autres, juste d'autre, juste de me promener en vélo, de me promener en scooter, quand je repense au plus beau moment que j'ai vécu, honnêtement, quand je suis sur le scooter avec mon casque à l'envers parce que c'est la tradition mexicaine quand tu te promènes en scooter, tu portes toujours le casque à l'envers de me promener en scooter, le sentiment de liberté, le sentiment de liberté, le sentiment de simplicité, le sentiment de bien-être qui m'habitait, le sentiment d'être une espèce de gangster, j'ai tellement, mais tellement, mais tellement, trouvé ça cool.

21:42

Je ne sais pas si je peux dire que c'est mon top, mais quand je me reconnecte à cette sensation-là, à cette émotion-là, wow, wow, ce que je ressens, ça a été tellement grandiose.

21:53

Maintenant, je vais entrer tranquillement dans ma colonne de no.

21:58

Pour moi, no, c'est plutôt les défis, ce qu'on ne vous a peut-être jamais dit par rapport à tout l'homme.

22:06

Je trouve que c'est important de le partager. On investit des milliers de dollars quand on voyage.

22:13

Moi, je ne suis pas quelqu'un qui veut tout planifier, je ne suis pas quelqu'un qui veut tout contrôler.

22:18

Au contraire, j'aime vraiment, vraiment.

22:20

Puis, j'adore voyager en solo, et je pense aussi que c'est un des points pourquoi j'aime voyager en solo, parce que je fais ce que je veux, quand je veux.

22:28

Si j'ai envie de chiller jusqu'à midi, faire mes petits trucs chez moi, puis, après sortir, je sors.

22:35

Si j'ai envie de parler à des gens, je parle à des gens.

22:37

Si je suis dans ma bulle, je me sens un peu sauvage, je reste dans mon petit cocon.

22:41

Vous voyez ce que je veux dire. Donc, je cherche pas à tout savoir, à tout connaître.

22:46

Je vais beaucoup, beaucoup embarquer dans le flot.

22:48

Le Mexique m'amène à beaucoup me connecter à mon énergie féminine.

22:51

Mais c'est quoi, ton énergie féminine? C'est l'énergie du flot, c'est de te laisser aller, c'est de pas tout décider, c'est de pas tout contrôler.

22:59

J'adore être là-dedans, être là-dedans, c'est aussi rempli de surprises et faire confiance au moment, puis c'est tout.

23:11

Mais bref, donc, mon objectif aujourd'hui, c'est vraiment de vous amener de la clarté.

23:17

Je veux pas vous décourager. Je veux pas non plus que les gens finissent le podcast en disant Ouf, aïe, aïe, c'est pas super cool, tout le monde, parce que vous pouvez écouter des podcasts, vous pouvez écouter des vidéos sur YouTube.

23:29

Il y a des gens qui vont dire Wow, best place ever, c'est l'endroit paradisiaque dans le monde.

23:37

Il y a des gens qui vont dire Sais-tu quoi?

23:39

moi, je suis allée passer trois mois là-bas et jamais plus j'y retourne.

23:42

Et moi, valérie Busque, je vais plutôt vous dire Ok, voici ce qui, moi, m'a nourri.

23:48

Voici ce que j'ai trouvé très challengeant.

23:51

Maintenant, vous avez l'heure juste. Alors, qu'est-ce que vous faites avec ça?

23:54

Vous le savez, il n'y a pas de surprise Si vous prenez la décision d'aller passer une semaine, dix jours, deux semaines, trois mois à Touloum.

24:03

Si vous avez écouté mon épisode, vous saurez tout simplement à quoi vous attendre.

24:07

Donc, donc, encore une fois, je vais vous parler un peu des défis et je vais quand même revenir sur certains points très positifs parce que, comme je vous ai dit, il y a plein de choses que je n'ai pas mentionnées, comme la bouffe, par exemple.

24:19

À quel point j'ai dégusté, dégusté des, l'ai senti quand je suis arrivée sur place Et au début, je me sentais mal de nommer chaotique par rapport à tout l'homme, parce que je pense qu'en regard extérieur, je me disais la croyance des gens, c'est que t'es au bord de la plage, c'est le truc spirituel, il fait chaud, machin, chouette.

24:48

Donc, pourquoi venir associer chaotique?

24:51

Puis, je voulais pas faire peur non plus aux gens.

24:53

Mais this is reality, guys.

24:57

Puis je vais vous donner un très bon exemple. Ok, c'est tellement concret.

25:00

Comme exemple, j'ai loué un condo, en fait, pendant deux mois et demi là-bas.

25:06

Puis, tu sais, vous m'entendez dire que je suis restée là-bas presque trois mois.

25:09

En fait, c'est qu'en novembre je suis allée passer du temps.

25:12

Je suis revenue au Québec, puis après ça, à la fin décembre, je suis repartie pendant deux mois et demi.

25:16

J'ai loué un condo pendant deux mois et demi, puis tu loues sur des photos, puis là, c'est comme wow, c'est petit, mais c'est luxueux, j'ai une terrasse avec une piscine, une piscine privée, puis là, il y a même un rooftop commun avec une piscine encore plus grosse.

25:34

C'est comme Wow, oui, je le veux.

25:38

Alors j'ai loué ça. Puis je connaissais le constructeur, en fait, du building, que j'avais rencontré dans un autre voyage au Mexique, quelques années auparavant.

25:47

J'avais déjà une certaine confiance au produit, puis en l'homme aussi, tout ça.

25:52

Donc, j'ai rapidement fait ma réservation Et le propriétaire, à un moment, il m'a envoyé un message pour me dire Oh, just so you know, juste pour te dire, il y a des chiens tout près.

26:03

Donc, je veux pas te faire peur avec ça, mais parfois on les entend japper, mais bien souvent ils jappent pas.

26:09

Les entend japper, mais bien souvent ils jappent pas.

26:11

Mais quand on les entend, on les entend. Fait que là, je me dis ah, regarde, c'est OK De toute façon.

26:16

Tu sais, il est comme un peu minu moins une.

26:19

Là, je suis à ça, là de booker.

26:21

Donc, regarde, c'est pas grave, je book. Mais là, j'ai quand même une petite résistance, parce que moi, quand j'ai découvert la surprise, donc, quand tu regardes d'un côté, en fait, du condo que j'ai loué, du côté de la porte patio, on est dans la jungle, c'est super.

26:43

Mais la porte d'entrée principale, en fait, ils ont fait la construction du condo, mais ils ont pas encore fait.

26:49

C'est comme s'il ya une partie des murs qui n'est pas encore totalement terminée, si on peut dire ça.

26:55

Et quand tu regardes sur une certaine partie du building, tu vois qu'il y a des murs en espèce de bambou, si je peux dire ça comme ça.

27:02

Moi, je vois bien et je remarque bien que le mur n'a pas été fait, ce qui est bien correct, ce qui n'est pas grave.

27:09

Mais là, je vois que, juste en bas de chez moi, il y a ce qu'on appellerait au Québec quelque chose comme une espèce de tout dit, vraiment.

27:19

Puis là, tu te dis mais ce n'est pas possible, ce n'est pas possible, ce n'est pas vrai.

27:22

Il n'y a pas des gens qui habitent là-dedans. Oh yes, il y a des gens, et ils fabriquent comme des genres de cadres, de fenêtres en métal Et ils ont cinq ou six chiens, mais tu sais, des chiens de garde, admettons.

27:42

Vous voyez un peu le topo. Donc ça, ça fait partie d'un de mes défis.

27:48

C'est bien, encore une fois, parce que d'être confronté à ça, ça te ramène à la réalité.

27:53

Vous savez qu'à un moment, j'ai une copine avec qui on discutait, puis elle me disait Hey, je m'en viens te rejoindre, je m'en viens te rejoindre, val.

27:59

Puis on va se louer une espèce de condo super luxueux, machin chouette et tout, et je que si je faisais ça, je sortais de la vie locale, j'allais me connecter à quelque chose de plus superficiel et je préférais rester dans cette espèce d'adversité-là où j'entendais des chiens japper constamment ou souvent.

28:20

Ce qui arrivait, c'est que je ne sais pas pourquoi, eux autres, ils se faisaient des shifts de soir, vers 19h à peu près, les employés arrivaient et ils commençaient à travailler et là, ils mettaient de la musique, mais tellement, mais tellement, mais tellement forte.

28:35

Donc ça, ça a été un bon défi que j'ai vécu, mais ça, c'est part of the game.

28:39

Tu sais jamais quand tu vas louer un endroit, tu sais jamais qui va être là, tu sais jamais ce que tu vas vivre, etc.

28:45

Fait que ça, pour moi, c'est totalement ok.

28:47

Et puis, j'ai fait la paix quand même assez rapidement avec ça.

28:50

Je me suis laissée un peu impactée, mais à un moment, bien écoute, tu n'as pas de contrôle, juste, lâche prise, trouve des solutions, passe un autre appel.

29:02

Donc, c'est ce que j'ai fait et ça a été parfait au final, parce que ça m'a amenée à aller enregistrer ma formation directement dans la jungle.

29:09

Mes amis, alors, j'ai passé plusieurs, plusieurs, plusieurs jours à me faire bouffer par les moustiques pour créer une formation dans la jungle.

29:19

Ça, ça a été vraiment, vraiment une belle expérience, même si les moustiques m'ont vraiment.

29:24

Ah bien, oui, mais ça, c'est un autre défi.

29:26

Allons-là, si vous allez à Toulum, apportez-vous n'importe quoi qui enlève les moustiques, apportez quelque chose.

29:36

Et surtout je ne sais pas si vous avez déjà entendu parler du dengue, si je ne m'abuse tu ne veux pas te faire piquer par un moustique qui va te donner le dengue.

29:43

Ça, ça peut vous rendre très, très, très malade.

29:46

Ma copine, antonella, avec son amoureux, ils ont été piqués par des moustiques qui leur ont propagé le dengue et ils ont été sur le dos pendant plusieurs semaines.

29:59

Alors, assurément, vous n'allez pas au Mexique, vous n'allez pas à Tulum sans vous protéger contre les moustiques hyper importants.

30:12

On continue Tout à l'heure, je vous ai parlé un petit peu de bouffe. Je vais vous parler d'un côté que j'aime beaucoup, puis je vais entrer après ça dans une autre réalité.

30:17

Souvent, les gens ont peur d'être malades dans les food trucks ou des trucs comme ça.

30:22

Moi, je me suis fait un plaisir de manger dans les food trucks Et ce n'est pas compliqué.

30:28

Vous voulez savoir si la bouffe est bonne, vous voulez savoir si ça va vous rendre malade?

30:32

observez la file d'attente.

30:36

Sur la Calier 7, sur la rue 7, dans le quartier La Velletta, il y a un food truck, l'homme je pense que le nom, c'est Il Pepe, je pense que le Mexicain, s'est rendu millionnaire, apparemment c'est ce qu'on m'a dit avec son food truck.

30:55

Chaque fois, ok, combien de fois je suis allée et il arrivait, il commençait à se préparer et on était déjà 20, 25 personnes devant le food truck à attendre qu'il ouvre.

31:08

C'est fou là. Si vous voyez ça bien, vous savez que vous pouvez avoir confiance.

31:13

Après, j'ai été là presque, admettons le deux mois et demi que j'ai été là.

31:18

Ça a été quand même un défi pour moi de m'habituer, puis de m'adapter à la nourriture.

31:24

Tu sais, j'ai senti là mes intestins, mon estomac, souvent mal au ventre.

31:35

Des choses comme ça, l'adaptation, la chaleur. Vous savez aussi que tu peux pas boire d'eau du robinet là-bas, donc c'est toujours de l'eau embouteillée.

31:41

Les gens vont acheter des énormes bouteilles d'eau ou, bien souvent, ils vont se faire livrer.

31:45

En fait, c'est beaucoup plus simple, mais moi, je me voyais pas aller m'acheter des immenses bouteilles d'eau, c'était impossible.

31:51

Il aurait fallu que je roule ces bouteilles au sol pour les amener chez moi.

31:56

Donc, je faisais beaucoup de back and forth pour aller me chercher de l'eau.

32:00

Donc, oui, pour moi, ça a été un défi au niveau température, au niveau de l'alimentation, etc.

32:06

Mon corps a dû s'adapter. Une fois qu'il s'est adapté, ça a été parfait.

32:09

Mais je vous le dis encore une fois, les food trucks, les taquerias, si vous voyez ça, tous les endroits où est-ce qu'ils vendent des tacos, vous pouvez avoir confiance.

32:19

Puis, c'est cool, parce que les gens sont gentils.

32:22

Vous demandez vous allez dans un resto, vous demandez les gens sont tellement contents, en fait, de pouvoir vous guider, de pouvoir vous aider en quelque sorte, de pouvoir vous conseiller, vous référer des endroits, des bonnes adresses, et tout Ça.

32:34

C'est vraiment, vraiment génial. Maintenant, il y a des trucs que j'ai découverts où, à un moment, ça m'a vraiment choqué, et là, je vais vous parler.

32:43

On va parler un petit peu plus d'argent. J'ai quand même quelques points à vous partager par rapport à l'argent en soi.

32:49

Première chose, c'est que quand j'ai commencé, j'allais me chercher des cafés au resto.

32:54

On va prendre un petit café une fois de temps en temps, on va manger au resto et tout Et ça m'a pris quelques semaines avant de me réveiller et avant de comprendre une tactique qu'ils utilisent Et écoutez, je ne veux pas juger, est-ce que c'est comme ça partout au Mexique Peut-être?

33:11

Ils sont toujours dans le tourisme, toujours connectés avec les touristes.

33:14

Donc, est-ce qu'il n'y a pas un petit quelque chose qui fait en sorte qu'ils ont toujours envie de faire un peu plus d'argent, puis un peu plus d'argent, puis comment je peux en faire encore un peu plus?

33:25

Donc, moi, les défis auxquels, les premières semaines, chaque fois que j'allais au restaurant, il m'incluait du pourboire sur ma facture, mais il ne me le disait pas.

33:36

Alors, j'ai une facture avec un montant de XY.

33:39

Moi, je vois ce montant-là, j'ajoute du pourboire, mais hey, le pourboire est déjà inclus.

33:45

Alors, tout de suite en partant, ça ne passe pas.

33:48

Ils n'ont pas le droit de faire ça, mais ils n'en ont rien à battre.

33:51

Ils le font, ça fonctionne. La majorité des gens ne s'en rendent même pas compte.

33:55

Ça, c'est une première chose. Une deuxième chose, mais je vous jure que quand j'ai capté, quand j'ai capté qu'ils faisaient ça chaque fois, je faisais exprès, puis je les challengeais au max.

34:04

Et une autre chose que c'est que, parfois, vous allez peut-être prendre le collectivo.

34:12

Collectivo, en fait, c'est comme un petit autobus local qui va amener les workers ou qui va amener les touristes d'un point A au point B.

34:20

Si vous avez envie d'aller à la plage, aller visiter admettons, les ruines, des choses comme ça vous voulez aller à l'épicerie, vous pouvez toujours prendre le Même pour vous rendre à Playa del Carmen, qui est à peu près à 40, 50 minutes peut-être, en collectivo, c'est le moyen de transport le moins cher à Touloum.

34:38

Les taxis, puis ça, c'est un no.

34:40

Les taxis, c'est ce qui coûte le plus cher à Touloum.

34:44

Ça n'a aucun sens. Ça n'a aucun sens.

34:47

Ça peut facilement vous coûter 100 $ pour partir de downtown, vous rendre à la plage et revenir downtown.

34:56

Mais bon, là, je suis en train de m'égarer un peu, je reviendrai là-dessus.

34:59

Mais je veux revenir vraiment sur le côté restauration.

35:02

Il y a le côté du pourboire qui est caché.

35:05

Donc, tu doubles le pourboire.

35:07

Finalement, tu doubles le tip, tu doubles le type.

35:36

Et le deuxième truc, c'est que tu vas aller admettons, t'acheter un sandwich. Tu vas aller prendre un café, tu vas faire une activité, admettons, je ne sais pas.

35:40

Moi, tu vas dans un C-noté, Tu payes, puis là, moi, je vous conseille fortement de toujours avoir du cash.

35:43

Je vais vous expliquer pourquoi. Tout à l'heure, tu prends l'autobus, tu payes en argent À chaque fois qu'il te redonne.

35:46

Il ne te redonne jamais le montant juste, jamais, jamais, jamais, jamais. Alors, il manque toujours.

35:48

Des fois, il manque 5 pesos, 10 pesos, 25 pesos. Parfois, il manque 50 pesos.

35:53

Alors, si vous allez au mexique, à toulum, calculé, regardez quand vous donner de l'argent.

36:00

Si vous donnez un, par exemple un chauffeur de taxi, si vous lui donnez un montant, tenez votre argent dans vos mains et dites lui ok, je te donne, admettons, 500 pesos.

36:13

Tu le vois, je l'ai. Parce que trop souvent, ils vont dire non, non, non, tu m'as pas donné 500, tu m'as donné 100.

36:21

Vous voyez ce que je veux dire Et ça, je vous jure, ça m'est arrivé par-dessus-arrivé, par-dessus-arrivé, no-transcript.

36:57

Encore une fois, c'est ce qui va coûter le moins cher. Puis, le trajet il est super, c'est un autobus voyageur et tout.

37:02

Il y a des toilettes à l'intérieur, c'est à peu près deux heures maximum en partance de Cancun pour se rendre à Touloum, mais eux, ils nous laissent au Terminus.

37:15

Alors, moi, j'arrive à Touloum, au Terminus, j'ai quand même des bagages pour les prochains deux mois et demi, donc, je dois me prendre un taxi.

37:21

Puis, je ne sais pas, je suis à combien de temps, je ne sais pas je suis à combien de minutes.

37:24

Alors bien, j'ai pris un taxi qui m'a coûté à peu près 4 minutes, fait que vous voyez un peu le ratio.

37:32

Mais qu'est-ce que je fais? Qu'est-ce que je fais, val, si je m'en vais à Touloum?

37:35

puis, je veux pas me ruiner avec le taxi.

37:38

Bien, c'est quoi, les options? Ce qui est très drôle, ce qui est très, très marrant.

37:42

Tu sais, quand je dis l'énergie chaotique de Touloum, moi, j'étais dans, j'ai adoré ce quartier-là.

37:49

Pour vrai, il y a deux quartiers, comme plus in.

37:52

Il y a le Aldea, je pense que c'est comme ça Aldea Zama, et il y a le quartier de la Véleta.

38:01

Je vous conseille fortement de miser sur le quartier de la Véleta, vous allez avoir beaucoup plus de plaisir que le quartier Aldea.

38:07

J'espère que je le prononce correctement, aldea Zama.

38:11

Je suis allée à un moment dans un resto. Tu ne ressens pas?

38:15

C'est comme si tu sens qu'ils ont essayé de créer une petite ville. Moi, je ne sentais pas la vibe, je la sentais beaucoup plus dans la Véléta.

38:20

La Véléta, tu as des petits restos, tu as des boutiques, tu peux marcher.

38:24

C'est très, très cool, j'ai bien, mais l'énergie chaotique, tu la ressens aussi.

38:31

Puis, c'est très drôle, parce que, tout à l'heure, je vous parlais des chiens, mais quand je sortais de chez moi, je sortais de chez moi.

38:36

On n'est pas sur l'asphalte, on est sur, comme on dirait en bon québécois, sur du gravier.

38:43

Trois quarts, tu sais, je veux dire, tu marches tout le temps dans la petite roche, tu marches sur la terre, tu te promènes.

38:50

Il y a un chien qui est là, qui dort.

38:53

Tu ne sais pas s'il est vivant, tu ne sais pas s'il est mort.

38:55

Ce ne sont pas des farces, de ce que je vous dis. Là, il y a des poubelles au sol.

38:58

Ça me donne l'impression que Toulum a grossi tellement vite.

39:03

Ça donne l'impression qu'on s'est emparé.

39:06

On s'est emparé de l'âme de Touloum, de ses habitants, des locaux.

39:16

Puis, on est venus un peu foutre le bordel. C'est vraiment quelque chose. Honnêtement, quand tu entres dans l'arrière-scène, tu découvres des choses, en fait.

39:20

Puis, quand t'es en surface, quand t'es là pendant une semaine, t'es pas conscient de ça.

39:25

Tu sais, il y a tellement d'hôtels qui sont échos, qui disent protéger l'environnement, machin, chouette, et tout.

39:34

Puis, j'écoutais des reportages sur YouTube où on nous dit que c'est tellement, mais tellement, mais tellement pollué à Touloum et ils n'ont pas la capacité Avec le nombre de personnes.

39:45

Il y a des millions d'humains qui viennent chaque année.

39:48

Les gros, gros, gros festivals de musique électronique, et tout ça se passe à Toulum.

39:53

Quand je suis arrivée, moi, j'étais dans le pire moment des parties.

39:56

Puis, j'ai, honnêtement, je suis allée dans aucun party Le mois de janvier.

40:01

Il y avait des parties partout, partout, partout.

40:03

Alors, si vous ne voulez pas être dans un mode party, n'allez pas là dans le temps des fêtes N' mois de janvier, parce que vous allez halluciner.

40:09

Mais tu sais, le genre de festival de musique électronique qui coûte presque 1000 $ du billet, bien là, c'était des trucs comme ça où, tout à coup, du jour au lendemain, boum, il y avait 26 000 personnes de plus qui rentraient dans Toulum pour aller participer.

40:26

Donc, imaginez, au niveau de l'environnement, ils n'ont pas les équipements, ils ne sont pas équipés pour gérer autant de gens, fait que finalement, on se retrouve.

40:36

On pense que tout l'homme, c'est tellement spirituel, c'est tellement propre, c'est tellement, c'est tellement.

40:42

Mais il y a une partie de mensonge Ou une espèce de faux marketing.

40:46

Puis je n'ai pas le choix d'aller là, guys, parce que moi, ça m'a vraiment frappée.

40:54

Donc, c'est ça aussi, c'est arrivé, je pense, à trois reprises où j'ai entendu des couples être complètement dégoûtés de tout l'homme.

40:59

Ils hallucinaient, ils n'en revenaient pas que ça pouvait être comme ça.

41:02

Mais c'est comme ça que les gens vivent ici, C'est comme ça que les locaux vivent.

41:07

Mais Mais eux, ils étaient choqués, à n'en juger à être dégoûtés.

41:13

Une femme qui dit Oh, mon Dieu, mais je ne veux pas embarquer.

41:18

Mais c'est que on n'est pas à Montréal, on n'est pas à Paris, on n'a pas les autoroutes, on n'a pas les infrastructures, ils n'ont pas ce que nous, on a.

41:25

Donc, ça, c'est important d'être conscient de ça.

41:27

Quand je suis arrivée à Touloum Hey, tu t'adaptes ou pas?

41:34

Je connaissais la vibe, je savais ça. Là, à ce niveau-là, je savais à quoi m'attendre.

41:36

Oui, tu te dis OK, adapt yourself, adapt or die, qu'est-ce que tu fais?

41:41

Mais je m'adapte Parfait, je me suis adaptée.

41:43

Mais soyez conscient de ça Que, dans tout, c'est vraiment la rencontre entre du gros luxe et là, juste à côté, c'est le dépotoir.

41:58

Mais this is Tulum reality, that's it.

42:00

Mais maintenant, comme je vous disais, il y a quelque chose de vrai, il y a quelque chose de raw là-dedans, il y a quelque chose qui te ramène À la fin de ce périple-là.

42:10

Quand je suis revenue au Québec, ça m'a frappée, ça m'a frappée où, puis encore là, je ne veux pas être dans le jugement, mais de me dire wow, le monde de la performance.

42:20

À quel point je voyais, tu sais, cette espèce de.

42:24

Je suis un entrepreneur, je suis en affaires, j'ai besoin de mon tailleur, j'ai besoin de mon veston.

42:33

C'est les 5 à 7, c'est la représentation, c'est les événements, c'est les parties plus huppées, les soirées mondaines, etc.

42:37

Oh, mon Dieu, que je t'ai déconnectée de ça.

42:39

Oh, mon Dieu que je t'ai déconnectée de ça, parce que j'ai vraiment puis ça, c'est un grand wow de passer deux mois a été encore plus grand, encore plus fort.

43:03

Alors, j'avais l'impression d'être connectée à mes projets et d'être connectée à la nature projet et d'être connecté à la nature.

43:11

Et c'est fou à quel point c'est épanouissant, parce que on dirait qu'en étant là-bas, t'es tellement plus grounded.

43:20

Même quand c'est challenger, même quand il y a de la contraction, on sent moins la performance.

43:26

Mais en tout cas, moi, je le ressentais moins. Ensuite, dernier point que je veux vous partager par rapport à l'argent, parce que non, je n'ai pas encore terminé.

43:35

Vous savez les ATM.

43:39

Les ATM, en fait, c'est les guichets automatiques.

43:43

Là, il y a plein d'options. Tu sais, quand tu dis OK, je m'en vais au Mexique, ok au Mexique, si tu es en euros, si tu es en dollars canadiens, si tu es en dollars US, je te conseille de te faire faire des puzzles.

43:55

Et, honnêtement, souvent, les gens vont dire Ouais, utilise ta carte de crédit.

44:02

Tellement plus simple. Mais faites attention, parce que, première des choses, combien de fois je suis allée dans un guichet automatique à Touloume et le guichet était vide.

44:12

Ça, c'est une première option. Deuxième option tu vas dans un guichet automatique à Touloum et il y a à peu près 75 personnes qui font le line-up.

44:20

Et si vous êtes déjà allé à Touloum, je suis certaine que vous savez exactement de quel guichet automatique, sur le coin de la rue, juste en diagonale avec un oxo Inc, juste en diagonale avec un oxo Incroyable.

44:33

Combien de fois j'ai cherché, dans la Vélétar, un guichet automatique pour aller retirer des pesos.

44:39

C'est vraiment ce qui coûte le moins cher.

44:41

En fait, c'est là où tu vas avoir le moins de frais. Mais les guichets automatiques sont vides, fait que, parfois, pendant une semaine, ils ne remplissent pas, ils ne fournissent pas.

44:50

C'est comme l'eau, c'est comme l'eau potable, c'est comme l'électricité, ils ne fournissent pas.

44:56

Alors, idéalement, quand vous êtes dans Touloum, quand vous êtes au Mexique, ayez de l'argent, des puzzles cash, puis là, je sais qu'il y a le risque aussi que si t'en as trop, si tu te fais voler, machin chouette, mais trouver des façons.

45:10

Là, moi, admettons, j'allais au guichet quand j'en trouvais un avec lequel il y avait de l'argent dedans et j'allais retirer quand même un bon montant d'argent.

45:25

Pourquoi? parce que je voulais pas retourner à tous les deux jours, admettons, guichet.

45:28

Parce que le truc, c'est que, trop souvent, si tu payes avec une carte, ben, il te charge 5% de plus.

45:32

Alors, une fois, c'est cool, deux fois, c'est cool.

45:34

Mais quand ça fait six, sept fois qu'on dit ouais, ok, tu payes avec ta carte, mais c'est 5 % de plus, cool, ok.

45:41

Tu sais, quand tu les accumules, tous ces petits pourcentages-là, tu te dis OK, change de stratégie, parce que ta stratégie actuelle, elle ne fonctionne pas du tout.

45:51

Et là et là, et là et là, je ne sais pas je suis à combien de temps dans cet épisode, mais j'ai l'impression que je pourrais.

46:00

Il y a des nouvelles idées qui pop, puis là, parfois, je les perds au fur et à mesure parce que je veux pas trop vous étourdir.

46:06

Mais bref, je continue à être dans le flou question qui revient souvent est-ce que je devrais aller, est-ce que je devrais me louer quelque chose au centre-ville ou je devrais me louer quelque chose à la plage?

46:17

très intéressant comme questionnement, puis très important aussi parce que vous allez vivre deux expériences totalement différentes.

46:27

Je vais vous faire ça assez short and sweet.

46:30

Si, demain matin, je veux, je souhaite aller à Touloum passer dix jours, premièrement, je vais me ramener à mes besoins, je vais me ramener à mon intention.

46:41

Premièrement, je vais me ramener à mes besoins, je vais me ramener à mon intention.

46:45

Si le moindrement il y a un gros pourcentage de votre besoin qui est de connecter à la mer puis à la plage, ne vous posez pas la question.

46:53

Trouvez la meilleure option pour vous et allez passer une semaine ou dix jours au bord de la plage.

47:00

Vous allez être connecté à la plage, au sable, à la chaleur, au soleil.

47:04

Vous serez sur la rue des hôtels, Vous aurez tout.

47:11

Vous aurez des restaurants, vous pouvez vivre plein d'expériences spirituelles.

47:14

Vous êtes un ou une party animal. Vous allez en avoir pour votre argent, les amis, assurément.

47:18

Mais il y a une chose, c'est que c'est challengeant.

47:23

À Toulum, si vous cherchez une plage où il ne se passe rien, où c'est le calme plat, vous ne trouverez pas.

47:29

Je vous avertis, ça va être difficile de trouver une plage qui est calme, où il ne se passe rien, parce qu'il y a cette vibe-là aussi qui est véhiculée à Toulum.

47:39

Il y a toujours des DJ, des musiciens à gauche, à droite, donc, bien souvent, chacun des resorts va avoir sa musique, sa vibe et tout.

47:49

Donc, c'est sûr que vous allez l'entendre.

47:52

Par contre, vous avez le choix de vous prendre un hôtel au centre-ville ou de vous prendre un hôtel à la plage, courte période.

48:00

Moi, je vous dirais prenez la plage, trouver ce qui vous convient.

48:08

Mais je vous le dis, guys, c'est très, très, très cher. Vous pouvez facilement payer un cocktail 50 $ us, no joke, no joke.

48:17

Vous allez trouver peut-être des endroits un peu plus abordable.

48:21

Mais moi, ce que j'ai vu là, puis j'ai quand même vu pas mal de trucs, c'est très, très, très cher.

48:28

Puis, j'ai déjà dormi aussi dans une hutte sur la rue des hôtels.

48:34

Ça m'avait coûté au moins minimum 550 dollars par nuit.

48:39

Puis, bien souvent, là, tu sais, je vous disais au début de l'épisode, c'est un peu des hôtels éco, donc il y a certains hôtels où ils vont fermer l'électricité.

48:50

Pour moi, ce serait ça, parce que vous pouvez toujours partir de la plage puis aller visiter le centre-ville.

48:57

Vous pouvez même le faire deux fois. Vous pouvez y aller en collectivo, revenir en collectivo, revenir en collectivo.

49:03

Vous pouvez louer un 4 roues, vous pouvez louer un taxi, louer un taxi, vous pouvez louer un scooter, vous pouvez prendre un taxi, vous pourriez même le faire en vélo.

49:11

Par contre, centre-ville, plage, plage, centre-ville, je ne vous conseille pas de le faire en vélo.

49:21

Vélo, scooter, quatre roues, c'est hyper, hyper, hyper populaire à Touloum, mais je vous le dis, c'est hyper dangereux aussi.

49:31

J'ai fait une fois, j'ai fait Centreville, plage, et jamais plus.

49:37

Je le referai. C'est beaucoup trop long, ça m'a pris presque une heure.

49:40

Puis on est sur l'autoroute.

49:43

Là, on est sur l'autoroute Et il n'y a pas une superbe petite route pour les vélos.

49:49

Donc, c'est comme à tes propres risques et périls.

49:53

Ok, pas de casque en plus.

49:55

Le scooter, c'est génial, mais ça reste que c'est dangereux.

50:00

Tu sais, les gens, c'est cowboy là-bas.

50:02

Puis, je pense que c'est le mot, c'est vraiment cowboy.

50:05

Tu regardes certaines routes, puis hum, qu'est-ce qui se passe là?

50:08

OK, ouf, on vient d'éviter un accident.

50:12

J'ai l'impression que quatre roues, c'est ce qu'il y a de moins pire.

50:14

J'ai l'impression que c'est ça.

50:31

Ce qui est cool, c'est que vous êtes à la plage, vous vous connectez avec le sable, vous pouvez vivre plein d'expériences, plein d'activités, vous êtes directement à la mer et vous pouvez faire des back and forth aussi pour aller au centre-ville.

50:39

Au centre-ville, un des endroits que j'ai beaucoup, beaucoup aimé, qui, selon moi, faisait un petit peu plus local comme vibe, c'est l'endroit qu'on appelle Palma Central.

50:43

C'est l'endroit qu'on appelle Palma Central.

50:45

Donc, palma Central, c'est quoi? C'est un endroit où il y a plein de food trucks Et tu peux aller là, tu peux aller chiller sur les espèces de grandes tables à pique-nique, tu peux manger n'importe quoi.

50:53

La bouffe, elle est trop, trop bonne. Il y a plein de kiosques aussi là.

51:00

Où est-ce qu'ilsressent, plus ou moins? Et le mardi soir, il y a des cours de salsa.

51:04

Alors, c'est très cool, parce que si vous avez envie de danser, de connecter un petit peu plus à la vibe locale, il y a énormément de locaux Et ça fait du bien, parce que ça, c'est un truc.

51:13

Quand t'arrives à Toulum, tu te dis mais où sont les locaux?

51:17

Où sont les locaux?

51:20

Ça me donne un peu cette impression-là, en fait, qu'on les a en quelque sorte envahis.

51:24

Je ne sais pas si vous voyez ce que je veux dire. Il y a un moment où ça devient difficile, je trouve, de vraiment trouver retrouver cet âme-là, l'âme mexicaine.

51:34

Et j'ai tellement discuté avec plein de gens Et tout le monde me disait ce, c'est pas le vrai Mexique ici.

51:47

Mais c'est pas le vrai Mexique, et je suis d'accord avec ça, je suis 100% d'accord avec ça.

51:52

Et je pense que c'est passé quelque chose en temps de pandémie.

51:55

Puis ils ont tellement explosé en temps de pandémie, puis ils ont pris ça pour acquis.

52:00

Mais là, il y a un problème actuellement, parce qu'ils ont plus le nombre de touristes qu'ils avaient avant.

52:07

Moi, je suis allée en saison haute et c'était vide, mes amis, je vous jure, j'ai halluciné Et à un point tel que je me demande, je me suis demandé comment les commerçants font pour vivre, parce que ça me donne l'impression qu'ils sont tous en mode survie.

52:22

Pas comment, je dirais pas de touristes.

52:24

Il y en a des gens, mais les gens que tu vois, que tu croises, bien, tu les revois, tu les recroises.

52:30

Donc, hey, c'est des gens qui sont venus habiter ici, qui deviennent des pseudo locaux, mais qui sont à peu près tous des gens qui viennent d'ailleurs.

52:38

Mais c'est ça. Même le tourisme en soi a tellement, tellement, tellement diminué et les prix sont tellement élevés.

52:47

Donc, je ne sais pas ce qui va se passer avec le nouvel aéroport, qui est déjà actif.

52:56

Je ne sais pas, mais je souhaite que ça fonctionne mieux, je souhaite que les prix s'ajustent, parce que ça, c'est un truc que j'ai entendu mille fois.

53:05

J'entendais les gens dire Hey, à Toulum, tu vas payer un café 200 pesos.

53:12

Tu vas aller à Playa del Carmen, tu vas payer ton café 20 pesos.

53:19

Ok, mais c'est la réalité. C'est la réalité.

53:21

Tout à l'heure, je vous parlais des plages. Demain matin, vous partez pour du moyen-long terme.

53:28

Si vraiment vous voulez être dans la vibe Tulum, pour moi, ce serait la Velleta Et non pas l'autre que je vous disais tout à l'heure, le Aldeazama, ma préférence à moi.

53:38

Je vous suggérais de vous louer quelque chose, de vous louer un condo dans le quartier La Velletta, ou peut-être même près de la mer, si vous trouvez.

53:48

J'ai beaucoup aimé, j'ai beaucoup aimé être non pas directement au centre-ville, mais être dans le quartier La Velletta.

53:54

Il y a plein de petits marchés, Tu n'es pas obligé d'aller dans une grosse, grosse épicerie.

53:59

Il y a une énorme épicerie que j'ai découverte, que j'ai connue à Touloum, qui s'appelle le Chedraoui.

54:06

Le Chedraoui, il y a à peu près 15 minutes en vélo, plus ou moins.

54:10

C'est comme un immense Walmart.

54:12

Ils vendent carrément de tout là-bas.

54:15

Ils vendent aussi des vêtements.

54:23

Tu as plein de marchés. Où est-ce que tu peux aller chercher ta bouffe?

54:27

Donc, c'est très, très, très, très cool. Mais après, c'est ça Le truc, en fait, c'est que quand tu es au centre-ville ou quand tu es plus loin, il faut se calculer, je vous le dis, il faut calculer au moins 25-30 minutes pour vous rendre à la plage.

54:41

Il y a des trucs importants que je veux vous partager par rapport à ça, parce que je les ai vécus.

54:45

Imaginez-vous, moi, je suis partie un après-midi, je me suis rendue à la plage, puis j'étais avec une copine.

54:54

Ça nous a pris à peu près une heure se rendre. Quand on est revenu, quand on est reparti de là, je ne me souviens plus exactement quelle heure il était, mais je pense qu'il était à peu près, je sais pas, peut-être 19h30, 20h, quelque chose comme ça.

55:08

Puis, 19h30, 20h, c'est encore très, très tôt pour l'heure du Mexique, parce que, ah, tiens, il commence à faire noir.

55:15

C'est pas comme ici, au Québec. Là, tu sais les journées, là, tu sens que les journées sont beaucoup plus longues aussi quand t'es là-bas.

55:21

Donc, on part de la plage, mais le truc, c'est quand t'es dans le trafic, t'es dans le trafic pour un bon bout de temps.

55:29

Donc, si vous êtes en taxi, si vous êtes en collectivo, et là, je vous le dis, croyez-moi, les line-up, quand tu sors de la beach ou quand tu entres dans la beach, parfois, guys, les line-up peuvent durer trois heures de temps Et, s'il vous plaît, croyez-moi, je vous le jure, ça fait que ça, c'est vraiment, vraiment, vraiment à prendre en considération.

55:54

Et je me souviens, j'ai encore le souvenir, on revenait, on repart de la plage, puis là, il commence à faire noir et je me sens, là, j'avais la scène qui était le film Mange-Prienne avec Julia Roberts elle se sépare, puis là, finalement, elle va en Inde.

56:11

Elle est allée en Italie, à Rome, elle va en Inde, puis, quand elle arrive, là, je me souviens, on entend les klaxons et dans la voiture, puis là, comme le chaos, je me sentais comme ça.

56:20

Je ne sais pas si je me sentais en Inde ou au Vietnam, mais c'était le bordel.

56:25

Puis, on passait à travers les voitures, les scooters, on se faufilait, on se faufilait, mais ça a été tellement long et je pense que ça m'a pris deux heures de partir de la plage pour me rendre chez moi.

56:37

Fait qu'imaginez les autobus, les taxis, les scooters, n'importe quoi.

56:42

Un autre truc aussi que je veux vous partager, qui est tellement important, c'est que ce qui fait qu'il y a beaucoup de gens qui habitent Toulum et qui vont déménager à Playa del Carmen, c'est une question de prix, parce que tout coûte le double en fait, mais c'est surtout parce qu'ils n'ont pas d'accès direct à la plage.

56:58

Alors, quand vous allez à la plage, si vous n'êtes pas un client de l'hôtel, mais vous allez où?

57:04

Parce qu'il n'y a pas de plage publique à Toulum, il y a zéro plage publique.

57:09

Si vous en avez une, vous allez devoir rouler un bon bout de temps pour arriver sur une plage complètement vide, ce que j'aurais bien aimé faire parfois.

57:23

Mais il y a deux options.

57:25

En fait, il y a un hôtel qui s'appelle l'hôtel Ceibas et dans cet hôtel-là, eux, ils acceptent les non-clients sans leur demander un cover charge, parce que si vous entrez dans un hôtel et que vous n'êtes pas un client et que vous voulez, moi, je veux juste aller chiller à la plage?

57:43

bien, on va vous dire ça te coûte 60 $ US, 100 $ US, et tu n'as même pas de consommation.

57:49

Ou on va te dire tu dois dépenser jusqu'à 200 $ US pour pouvoir passer par ici puis accéder à notre site.

57:58

Alors, si vous passez par l'hôtel DOS, cibas, puis là, donnez-moi un instant, regardez bien, je veux juste vous l'épeler.

58:08

Alors je regarde sur mon Google Map O-S, dos pour deux, et CIBAS, qui est un deuxième mot, qui est C-E-I-B-A-S.

58:27

Vous mettez ça dans votre Google Maps, dans votre Waze, vous montrez ça au taxi, au collectivo, whatever.

58:35

Mais vous stoppez là et vous avez juste à vous enregistrer et vous allez entrer gratuitement sur le site.

58:39

Vous allez passer le restaurant et vous allez tomber directement sur la plage.

58:42

Bien, sur le site, vous allez passer le restaurant et vous allez tomber directement sur la plage.

58:45

Vous ne tomberez pas, mais vous allez arriver directement sur la plage.

58:47

Puis vous pouvez vous spotter à peu près où est-ce que vous voulez.

58:52

Mais je vous le dis, soyez conscients de ça, si vous n'êtes pas un client de l'hôtel, ça va être difficile pour vous de vous positionner, à part si vous entrez par l'hôtel d'Oceibas, une autre option, qui a été mon endroit préféré par excellence.

59:06

Vraiment, ça a été mon fave spot, pas cette année, depuis, je pense 2016 ou 2017,.

59:15

J'ai découvert cet endroit-là Un jour. Je suis passée par là avec un chauffeur de taxi et j'étais comme Wow, qu'est-ce que c'est que ça?

59:24

J'aime la plage, mais je ne suis pas quelqu'un qui, de façon naturelle, va sauter, va aller se baigner.

59:29

Trop souvent, moi, je suis entrée dans l'eau dans le sud, admettons puis là, j'avais des petites tu sais, je mettais je ne sais pas graffignées ou des petites blessures, et ça brûlait tellement ma peau.

59:40

Oh, je n'aimais pas la sensation de l'eau salée, on dirait que ça me dérangeait.

59:46

Et ce que j'aime, c'est arriver dans des espèces de petits endroits, plus des endroits où est-ce qu'on va ressentir la vibe locale, moins touristique.

59:58

Alors, à l'extrémité, c'est comme si je vous disais à l'entrée, avant d'entrer vraiment sur la rue des hôtels, il y a une portion, il y a comme un cap de la mer.

1:00:20

Avec leur voiture, ils vont pêcher et je suis allée me spotter là à plusieurs reprises et wow, wow, wow, wow.

1:00:31

Je fais juste m'asseoir sur les rochers, observer, être à l'écoute des vagues qui viennent frapper sur les roches et qui m'éclaboussent le visage, et j'adore, j'adore, et je sens que c'est vrai, Je sens que c'est authentique.

1:00:46

Je vois des enfants, je vois des parents, je vois des gens rire.

1:00:50

Je les entends écouter de la musique mexicaine.

1:00:52

Je suis comme Holy yeah, j'ai adoré cette vibe-là.

1:00:57

Je n'ai pas senti non plus que c'était une vibe superficielle, au contraire.

1:01:00

Un truc aussi, c'est que un truc qui m'a choquée Je vais terminer, je pense, l'épisode de cette façon-ci aujourd'hui, non pas sur une note négative, au contraire, mais c'est que mes AirPods, en ce moment, me disent à l'oreille oh, je pense que ça fait longtemps que tu fais l'épisode, alors termine-nous ça bientôt.

1:01:19

J'ai ressenti vraiment un égo spirituel présent sur place.

1:01:24

Je pense que je me Je suis arrivée là-bas avec des lunettes roses, tu sais des lunettes de petite fille, où je pensais que tous les gens là-bas, c'était des guérisseurs.

1:01:34

Tous les gens étaient tellement déconnectés. Puis, il y a tellement Je m'excuse, je m'excuse, il y a tellement de bullshit, je m'excuse, je m'excuse, il y a tellement de bullshit.

1:01:44

J'ai tellement vu de bullshit à Toulum.

1:01:47

Ça m'a déçue, frustrée, ça m'a éveillée en même temps.

1:01:51

Puis, hey, de la bullshit, il y en a partout. Mais tu réalises à quel point l'ego spirituel est tellement puissant.

1:02:11

Je pourrais vous raconter des dizaines d'histoires de chamanes presque nus qu'on rencontrait sur la plage, qui étaient connectnent tout l'espace.

1:02:22

Ils ne veulent pas laisser la place à d'autres J'entre pas là-dedans mais à d'autres personnes qui sont tellement puissantes.

1:02:30

C'est que eux, c'est que leur message.

1:02:33

Ça m'a vraiment frappée, guys, ça m'a vraiment frappée.

1:02:37

Alors, si vous allez là-bas, travaillez votre spiritualité.

1:02:40

Je pense qu'il y a vraiment des gens qui sont wow, mais faites attention, parce que il y a énormément de drogues à Touloum, à un point tel que moi je vais être honnête avec vous je crois à ça les plantes médicinales, jusqu'à un certain niveau, ok.

1:02:55

Je pense qu'il y a trop de gens sur place qui utilisent ça pour faire croire que, pour faire semblant, allez viens, allez viens, on va te guérir.

1:03:02

Je vais te faire consommer tel truc, tu vas vomir ta vie pendant trois jours, mais hey, tu vas te libérer.

1:03:08

Hum, j'ai bien des résistances par rapport à ça Et, honnêtement, je pense que ta vraie spiritualité, c'est pas en payant des centaines de dollars, puis en étant avec des faux chamans de, puis en étant avec des faux chamanes de healers, d'égo spirituel.

1:03:24

Je pense vraiment que c'est dans ton quotidien, dans toutes les conversations que tu as avec toi, avec les autres, dans ta façon de réagir à quoi tu te connectes au quotidien.

1:03:31

Tout ça, elle a été là ma plus grande connexion spirituelle, vraiment, et non pas dans les activités que j'ai faites.

1:03:42

Puis, entendez-moi, je ne suis pas dans un espace de jugement ou de frustration Sur le coup.

1:03:48

Ça m'a vraiment éveillée. Puis, il y a une partie où ça m'a choquée.

1:03:51

Mais j'ai rencontré des gens. Tu sais, j'ai fait des Kundalini, j'ai fait des Sound Healing, j'ai fait des Temazcal, j'ai fait une constellation familiale.

1:04:00

Je n'ai pas eu besoin de consommer des drogues pour vivre ces expériences-là et me sentir transformée.

1:04:08

Il y a des expériences que j'ai vécues qui ont été extraordinaires, et je peux vous dire que j'ai senti un avant et après.

1:04:16

Par contre, moi, je ne sais pas si vous savez, mais j'ai suivi ma certification pour devenir breath coach.

1:04:23

Je facilite des breath work.

1:04:26

Ce n'est pas quelque chose que je mets tant de l'avant, sûrement un peu le syndrome d'imposteur, mais j'ai fait ma certification avec un homme qui est à Bali, qui s'appelle Brian Kelly, qui est fondateur de la Breath Masters Academy, et j'ai vu des groupes faciliter des breathwork.

1:04:44

Puis, je vous jure, je me suis retenue Si je vous dis que j'ai participé à un événement, puis, pendant cet événement-là, on a fait faire des breathwork sans donner, sans partager, aucune contre-indication.

1:04:59

Mais plus loin encore, devant moi, j'ai vu une femme devant moi qui est tombée pouf, elle a complètement pas à sa hâte Et guess what, devinez qui s'est levée pour aller lui donner du soutien, parce que personne se levait.

1:05:12

Et j'ai même pas vu les facilitateurs se lever.

1:05:15

J'ai trouvé ça incroyable. J'ai été celle qui s'est levée, celle qui a été lui donner du soutien, du support, une bouteille d'eau et tout.

1:05:22

J'en ai vu une deuxième. Elle n'est pas passante, mais elle n'était plus capable de continuer.

1:05:29

Et à la fin, il y avait trois personnes qui étaient assises, qui étaient appuyées sur le mur et qui ne se sentaient pas bien du tout.

1:05:38

Et ce n'est pas normal.

1:05:42

Ce n'est pas normal, ce n'est pas normal, ce n'est pas normal.

1:05:44

Ça, vraiment ça m'a choquée. Puis, j'ai eu là, ça m'a pris quelques jours avant de m'en remettre, Mais ça, on va trouver ça partout.

1:05:52

Puis, en même temps, je comprends, quand on est nouveau dans quelque chose, on le fait une fois, on le fait deux fois, on le pratique, tu sais, on s'améliore et tout et tout.

1:06:05

Mais mon message, en fait, c'est plus de dire ne soyez pas, essayez d'être éveillé, essayez d'être conscient.

1:06:09

Puis, c'est trop facile, en fait, on le voit, on le ressent À un moment, je pense que je ne sais pas, ton intuition te le dit et là, c'est l''ego spirituel qui se présente devant toi.

1:06:24

Ramenez ça à la plus grande simplicité.

1:06:26

La spiritualité, elle est là tout le temps.

1:06:29

Vous avez pas besoin d'un chamane presque à poil pour vous comprenez ce que je veux dire.

1:06:34

Et je ne mets pas tout le monde dans le même panier, ok, entendez-moi.

1:06:39

Mais c'est vrai, c'est ça que j'ai vécu pour vrai.

1:06:41

Puis, c'est parce qu'on a tellement ri Ah, mon Dieu.

1:06:44

Puis, je ne peux pas croire que je suis en train de raconter ça sur l'épisode aujourd'hui.

1:06:50

Mais c'est la réalité, guys, pour vrai, pour vrai, pour vrai.

1:06:54

Mais des gens qui sont vraiment alignés, qui sont vraiment connectés, il y en a.

1:06:58

Il y en a, mais c'est qu'ily a tellement d'égo spirituel aussi.

1:07:02

Puis, à un moment, tu sais, c'est comme c'est trop drôle.

1:07:05

Puis, moi, plus je marche dans la vie, puis plus je me dis ah, c'est drôle, plus j'apprends, puis plus je réalise que je ne connais rien.

1:07:11

Je regarde l'autre à côté, qui est lui, là, lui, c'est juste de vous dire faites les choses avec intention.

1:07:22

Peut-être informez-vous, demandez à des gens.

1:07:26

Tout le monde se connaît à Toulum, tout le monde se connaît, et les personnes les plus crédibles, avec le plus d'autorité.

1:07:33

Vous allez en entendre parler de toute façon.

1:07:36

Mais vous n'avez pas besoin de vous connecter à l'égo spirituel parce qu'on vous fait croire que tu sais.

1:07:41

Parfois, juste par les vêtements, on peut vous faire croire tellement de choses.

1:07:44

Ah, n'embarquez pas là-dedans, ramenez-vous, groundez-vous, centrez-vous, ramenez-vous à vous, gardez ça simple, simple, simple.

1:07:53

Oh my God. C'était tout qu'un épisode, ça.

1:08:13

Alors, j'aurais encore plein, plein de choses à vous partager, mais je pense que je vous ai déjà donné un paquet de bons trucs.

1:08:18

J'espère vraiment, mes amis, que ça vous aura soit diverti. Ou peuten vas quelques mois dans un autre pays, que, hey, ça va couler.

1:08:24

Ça va être un long fleuve tranquille. La vie, c'est des challenges.

1:08:27

La vie, c'est des défis Every day of your life.

1:08:31

Alors, tu t'adaptes ou Adapt, or die.

1:08:34

Tu t'adaptes, ou tu restes là, ou tu restes dans le statu quo, puis n'avances pas.

1:08:39

Puis, moi, je suis heureuse de vivre ces défis-là.

1:08:42

Demandez-moi est-ce que je vais revivre l'expérience, of course, à Toulum?

1:08:46

je ne sais pas. Je n'ai pas encore totalement fait la paix à 100 % avec mon expérience.

1:08:54

Tout est parfait. J'ai besoin de vivre mes trucs moi aussi, quand j'observe, puis quand je prends du recul les plus beaux, les plus grands moments de ma vie, honnêtement, c'est quand je suis partie, quand je suis partie pendant un an en France, quand je suis partie pendant un mois en Italie, quand je suis partie pendant deux mois et demi au Mexique.

1:09:12

Oh yeah, est-ce que je suis fière de ça?

1:09:15

Oh shit, yeah.

1:09:17

Me disent. Il y a plein de gens qui me disaient Oh, my God, t'as tellement eu du courage.

1:09:23

Cette semaine, je suis allée me chercher. Ok, je vais vous le dire parce qu'il n'y a plus de secret entre nous.

1:09:28

Évidemment, je suis une Québécoise, donc je suis fan de poutine.

1:09:31

Puis, il y a le meilleur, le meilleur casse-croûte au monde, tout près de chez moi, et c'est une famille carrément.

1:09:37

Je les aime tellement.

1:09:39

Je suis allée me chercher une poutine cette semaine.

1:09:42

Ils m'ont tellement donné d'amour, ça m'a tellement fait du bien de recevoir ça.

1:09:47

Mais tu sais, dès qu'ils m'ont vue, ils ont commencé à me dire wow, val, c'était malade, on t'a suivi dans ton expérience à Toulouse.

1:09:53

C'était tellement cool, t'es tellement hot.

1:10:01

Puis, le défi. Puis tu avances, puis tu t'en sors bien.

1:10:03

Tu ne te rends pas compte, mais c'est vrai que ça prend du courage.

1:10:06

Puis, c'est vrai que ça prend de la résilience, puis, c'est vrai que ça prend.

1:10:10

J'ai envie de dire je vais dire du guts.

1:10:12

Ça prend du guts pour dire hey, ok, j'essaie quelque chose de facile.

1:10:20

Et tous les gens que vous connaissez qui sont partis à l'étranger, peu importe le pays, peu importe où tu es, c'est un défi Parce que tu dois t'adapter à une autre culture, à d'autres personnes.

1:10:32

Tu ne veux pas laisser tomber ton monde.

1:10:34

Tu as quitté des gens, puis ça ne leur tentait pas nécessairement que tu quittes, mais là, tu veux essayer de vivre quelque chose d'autre.

1:10:40

Fait que là, tu cultives cette sortie de zone de confort-là.

1:10:43

Oh my God, c'est rempli, rempli de défis, mais c'est tellement beau Et, honnêtement, si votre intuition vous dit J'aimerais tellement faire ça, j'ai besoin de le faire, j'ai envie de partir pendant un mois.

1:10:53

Do it, do it, do it, make it work, do it.

1:10:58

Guys. Vous n'êtes pas conscient à quel point un mois dans une vie, c'est rien.

1:11:02

Je suis partie deux mois et demi.

1:11:04

C'est comme vous dit de le faire. Préparez-vous, faites-le.

1:11:08

Vous serez tellement fiers de vous, mais faites-le si vous avez envie.

1:11:31

Cette envie-là viscérale de le faire, ça fait trois fois que je le fais.

1:11:36

Puis, j'ai voyagé beaucoup plus que ça dans ma vie, mais sur des longues périodes.

1:11:40

C'est vraiment ces trois voyages-là que j'ai faits et à quel point je suis fière.

1:11:46

Merci, merci, merci d'avoir écouté l'épisode.

1:11:48

Je sais que c'était un très, très long épisode aujourd'hui, mais je voulais vraiment être dans le flow, je voulais vous donner un max d'informations.

1:11:55

Merci de m'avoir écoutée.

1:11:57

Pour vrai, ça me fait du bien d'exprimer ça.

1:12:00

Ça me fait du bien aussi d'exprimer la vérité.

1:12:04

La vérité, pas l'espèce de faux masque qu'on va porter.

1:12:09

Tulum, c'est tellement cool, oui, c'est cool.

1:12:11

Mais attends, je te montre les deux côtés de Tulum, right, comme ça, tu vas savoir ce qu'il y en a.

1:12:17

Tu vas savoir ce qu'il y a, tout simplement.

1:12:21

Merci encore une fois d'avoir été là. Si vous avez apprécié l'épisode, si vous avez envie de me faire un petit cadeau, comme à chaque semaine, allez partager le podcast en stories, allez mettre un 5 étoiles.

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